Biological and ecological traits as synthetic descriptors of diatom communities: State of the art and first tests of metrics
Traits biologiques et écologiques comme descripteurs synthétiques des communautés diatomiques : Etat de l'art et premiers tests de métriques
Résumé
The work presented here focuses on a list of ecological and biological traits related to diatom communities and is a first approach of their use as synthetic descriptors. The results of this initial study are encouraging but should be interpreted with caution. They were generated from the Cemagref historical basis, and analysed with simple linear correlation tools. Nevertheless, results show that there is little interest to replace a biotic index like IBD2007 by ecological traits with similar diagnostic, and also requiring species level determinations (traits from the classification of van Dam). It is also unrealistic, as the bibliography on this subject indisputably proves, to consider that gender-related traits can precisely reflect a trophic and / or organic level of pollution. In contrast, the biological traits should be promptly considered in the cases of acute toxic pollution, and combined with conventional indices, inefficient in this kind of context.
Le travail présenté ici fait le point sur une liste de traits écologiques et biologiques liés aux communautés de diatomées et constitue une première approche concernant leur utilisation comme descripteurs synthétiques. Les résultats de cette première étude sont encourageants mais à interpréter avec beaucoup de précautions. Ils ont été générés à partir d'une base historique insuffisante (base historique du Cemagref), et à partir d'outils de corrélation linéaires simples. On peut néanmoins penser à la lecture des résultats qu'il y a peu d'intérêt à remplacer un indice type IBD2007 par des traits écologiques au diagnostic équivalent, et nécessitant également une détermination à l'espèce (traits issus de la classification van Dam). Il est également illusoire, comme la bibliographie à ce sujet le prouve sans conteste, de considérer que des traits relatifs au genre peuvent rendre compte finement d'un niveau de pollution trophique et/ou organique. En revanche les traits biologiques liés à une pollution aigüe type toxique doivent être rapidement pris en compte et combinés aux indices classiques, peu efficaces dans ce genre de contexte.