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. Schibille-n and . C. Freestone-i, She is a scientific member of the Italian archaeological mission at Hierapolis, and an associate researcher at UMR 8178 in Paris. Her scientific work follows a multidisciplinary approach (archaeology, archaeometry and written sources) and is focused on two main subjects: the first is the archaeology of the techniques used (in particular Medieval bells, and Late Antique and Byzantine wall mosaics), the second is the archaeology of churches and of perception (both visual and acoustic) of their interiors. During the four year of post-doc in Paris (at Labex RESMED and at UMPC Programme Convergence Sorbonne Universités), she has collaborated whit C2RMF, MONARIS-UMPC (Philippe Colomban) and LAMS, vol.8, p.76479, 2003.

, Les modifications chromatiques de certains pigments ont été étudiées

S. Grousset, , 2015.

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C. Santoro, Applied Physics A: Materials Science & Processing, 2014.

. Eléments-biographiques-solenn-reguer, . Diffabs, and S. Synchrotron, Physico-chimiste impliquée dans le développement de techniques de caractérisation des matériaux par rayonnement synchrotron ; spécialisée dans l'utilisation de la spectroscopie d'absorption et de fluorescence des rayons X ainsi que la diffraction de poudres. Recherche en lien avec l'étude des matériaux du patrimoine : altération et protection des métaux, optimisation de traitements de stabilisation d'objets archéologiques et développement de stratégies de conservation altération des pigments

, Centre d'histoire des techniques de l'Université Panthéon-Sorbonne Paris I. Enseignements: 2014-2015 École du Louvre; Classes préparatoires au concours de conservateur : encadrement d'étudiants, Chercheur associé au CH2ST-EA 127, IHMC, 2000.

, Université Sorbonne Paris IV; Intervenante dans la master 1 et 2 de l'UFR d'études slaves CIMER Université Panthéon-Sorbonne Paris I

R. Thomas-table-ronde, Méthodes et matériaux

, En plein essor dans la recherche anglo-saxonne ou néerlandaise, le thème de la matérialité de l'art et en particulier l'étude des matériaux constitutifs de l'oeuvre émergent à peine dans la recherche française en histoire de l'art moderne (XVe-XVIIIe siècles), alors même que les institutions françaises de recherche sur le patrimoine ont depuis longtemps une expertise

, On s'intéressera aux approches d'histoire économique, d'histoire des sources techniques, d'histoire anthropologique appliquées aux matériaux du patrimoine, en tentant de montrer comment l'histoire de l'art peut enrichir ses problématiques grâce aux analyses physico-chimiques

A. Christy, H. Pamela, and . Smith-(dir, The matter of art. Materials, practices, cultural logics, c. 1250-1750, 2015.

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, Il a été en charge de la coordination scientifique de la Fondation des Sciences du Patrimoine (post-doc 2012-2014) et a animé, à cette occasion, un séminaire doctoral sur l'épistémologie des sciences du patrimoine. Ses recherches actuelles portent sur la matérialité de l'art, Images du mariage et usages sociaux, religieux et politiques de la symbolique matrimoniale dans les Provinces-Unies au XVIIe siècle, vol.6, 2002.

T. Nadine, C. H. Eric, D. Michel, F. , C. Gauthier et al.,

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R. , Science, vol.272, pp.68-70, 1992.

, SMA) contribue de façon significative à la connaissance de l'évolution culturelle de l'homme préhistorique. L'une des applications importantes concerne l'art pariétal, dont l'étude chronologique a beaucoup progressé grâce aux datations directes des dessins et peintures réalisés avec du charbon de bois. La possibilité de dater de petits échantillons a permis des prélèvements pariétaux non vulnérants (quelques dizaines de milligrammes) et des mesures sur quelques centaines de microgrammes de carbone L'homme préhistorique a fréquemment utilisé le dioxyde de manganèse pour obtenir la couleur noire mais quelques tracés pariétaux ont aussi été réalisés

, Ces résultats ont confirmé l'existence proposée par plusieurs archéologues d'une activité artistique importante dès le Gravettien (de 27 000 à 22 000 ans), soit plus de 10 000 ans avant les peintures magdaléniennes. La découverte en 1994 de la grotte Chauvet Pont-d'Arc (Ardèche) et les datations d'esquilles charbonneuses récoltées sur plusieurs de ces dessins ont encore repoussé dans le passé l'apparition de l'art pariétal5. Les âges C-14 (32 000 à 30 000 ans BP) obtenus sur des oeuvres remarquables ont contredit les théories en cours sur l'art paléolithique, en montrant qu'il n'avait pas évolué progressivement jusqu'à son plein épanouissement pendant le Magdalénien. Ces datations attestent que, dès l'Aurignacien (de 36 000 à 29 000 ans), à l'époque où les hommes modernes se sont répandus en Europe de l'Ouest, des artistes maîtrisaient parfaitement les techniques picturales. Cette présentation décrira les difficultés méthodologiques rencontrées lors de la datation C-14 des pigments, En général, les datations de pigments pariétaux, notamment ceux prélevés sur des oeuvres attribuées au Magdalénien (de 17 000 à 11 000 ans)

H. Valladas, F. Quiros, J. Clottes, C. Valdes, V. Uzquiano et al., Direct radiocarbon dates for prehistoric paintings at the Altamira, El Castillo and Niaux caves, Nature, vol.357, pp.68-70, 1992.

H. Valladas, N. Tisnerat-laborde, and H. Cachier,

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C. Lsce/ipsl, Hélène Valladas, ingénieur-chercheur au Commissariat à l'Energie Atomique, p.91191

F. Gif-sur-yvette, Elle s'intéresse à l'application des méthodes radionucléaires de datation à l'Archéologie. Son intérêt pour le Paléolithique moyen et le Paléolithique supérieur l'a conduit à étudier les étapes du peuplement de l'Europe et du Proche-Orient par les Hommes de Néandertal et les premiers Hommes modernes, en utilisant la méthode de la thermoluminescence sur silex chauffés. Ses recherches portent aussi sur l'évolution de l'art pariétal grâce à la datation directe des pigments organiques par la méthode