, Usages locaux. Recueil et commentaires. Largentière (07), imprimerie Mazel, 1936.
« Alimentation et idéologie : la châtaigne en France, Annales ESC, vol.6, pp.1161-1189, 1984. ,
, La beauté du mort », in M. de Certeau, La culture au pluriel, pp.44-72, 1974.
Les Français d'aujourd'hui. Les types sociaux du midi de la France, 1900. ,
, Cela explique en partie la « culture », disons le maintien des haies de fougères qui bordaient les limites des parcelles : elles servaient à retenir les feuilles et les bogues (utilisées dans les matelas et pour la lisière des porcs)
Le sol des châtaigneraies étant communal, la récolte y est aurorisée une fois la récolte officielle achevée. Celle-ci dure quarante jours, encadére par les cloches du village. Au delà-de ce délai, les châtaignes non récoltées sont considérées comme abandonnées : elles peuvent donc être ramassées ou mangées sur place par les porcs qui parcourent alors librement les châtaigneraies ,
, Territoires : saisons et enjeux de la guerre des champs en haut Languedoc, pp.331-340, 1997.
Histoire de la France rurale. De 1914 à nos jours, 1977. ,
Du marron à la châtaigne d'Ardèche. La relance d'un produit régional, Éditions du CTHS, vol.334, 2002. ,
Cours d'agriculture, p.1863 ,
Terres de castanides : hommes et paysages du châtaignier, de l'Antiquité à nos jours, 1986. ,
, Marrons et châtaignes d'Ardèche, 1984.
, Ethnologies comparées, « Pays, terroirs, territoires, p.8, 2005.