En Equateur, au Pérou et en Bolivie se préparent des ateliers nationaux avec divers groupes d'acteurs. Au travers des Organisations non gouvernementales (ONG) qui oeuvrent en milieu rural, l'atelier s'intéresse aux populations rurales et à ses organisations. Il constitue cette réflexion collective qui construit peu à peu la parole des paysans. Le débat porte sur la logique des habitants de la montagne pour qui le Paramo fait partie de ses systèmes de vie, la logique de la société qui cherche à le protéger et celle de la communauté internationale qui le voit comme source de biodiversité.