,
,
,
,
,
,
,
,
, Les microstratégies pour la recherche
,
,
,
,
,
, Les microstratégies pour la recherche
,
,
, Les microstratégies pour la recherche
,
,
, Les microstratégies pour la recherche
,
,
, Les microstratégies pour la recherche
, ? Cas de C2S1
, Dans ce cas, l'incitation à la microstratégie précédente (C 1 SI) disparaîtrait. Mais, comme cette microstratégie peut avoir pour origine le microscénario BI, l'INRA est susceptible de la conserver
, INRA adopte cette micro stratégie qui a pour origine le secteur agro-alimentaire. Par ailleurs, il semble, dans ce cas, presque obligatoire d'introduire les études retenues pour la microstratégie Cl S2. Ainsi
, Le contexte économique et politique ne permet pas de fortes modifications de la demande de semences dans le cadre de l'OCDE. Ses répercussions négatives sur les capacités de financement de la R & D des entreprises entraînent un développement de l'utilisation des biotechnologies qui passe par une intégration verticale dans le secteur, en particulier du fait des possibilités de diversification des espèces par la transgénèse. Ceci réduit, voire supprime, la sortie de certains parasemenciers du secteur. D2 : Dans le même contexte général, l'utilisation des biotechnologies par intégration verticale des entreprises semencières et les possibilités de diversification par la transgénèse sont insuffisantes pour contrebalancer les effets négatifs d'une réduction de la capacité
, -semences, l'INRA peut sembler dans une situation peu différente de celle d'aujourd'hui. En réalité, les relations partenariales de l'INRA ont de fortes chances d'être "tirées" vers les parasemenciers pour deux raisons. D'une part, l'accroissement des mouvements d'intégration verticale dans le secteur semencier conduira au moins l'INRA à élaborer des conventions-cadres avec les "maisons-mères" et, peut-être, p.136
, Quelque soit le bien fondé de ces comportements certaines entreprises peuvent en tirer arguments pour orienter de préférence leur recherche sur des plantes non alimentaires 154. Néanmoins il semble évident que dans cette micro stratégie une collaboration étroite avec les autres partenaires de la recherche s'impose
, On peut, néanmoins se demander si l'axe principal doit être le comportement des consommateurs qui, somme toute, est "raisonnable" 155. Ne faut-il pas, au contraire, travailler, d'une part, sur les conditions à respecter pour que les innovations soient sans risque, et, d'autre part, sur le fonctionnement des institutions chargées de garantir au public l'innocuité des aliments et sur leur mode de communication avec le public? Plus généralement, que signifie le principe de moindre risque et comment remet-il en cause les relations "traditionnelles" de la science et de la société, concerne les travaux à mener sur le comportement des consommateurs
, Un organisme de recherche publique a un double devoir impérieux: il doit participer à ces institutions, c'est un travail d'expert, et il doit réfléchir sur leur fonctionnement
, Notons qu'actuellement les demandes de mise sur le marché portent principalement sur des plantes alimentaires issues de transgénèse. Ces demandes émanent, entre autres
, Union Fédérales des Consommateurs et la revue "Que choisir, Cf. l'intervention de M. Michels, représentant l
, Institut ne semble pas plus que précédemment, et pour les mêmes raisons, susceptible d'abandonner ses recherches en biologie moléculaire et sur les techniques dérivées. Mais, le financement sera probablement beaucoup moins assuré et les choix plus difficiles. Deux sous-stratégies semblent possibles
,
, Pour lui, l'option est encore plus nettement qu'en F 1-1 S 1-1 de préparer l'avenir. Mais ce refus des consommateurs, à cause du retard qu'il entraînera en matière de sélection 157, risque de pousser de nombreux parasemenciers à quitter ce secteur d'activité et à ne plus apporter, alors, leurs contributions aux recherches dans ces domaines. Aussi, dans une telle optique, est-il nécessaire pour l'INRA d'envisager une articulation beaucoup plus étroite avec les organismes de recherche qui abordent ces questions
,
, Il est, alors, probable que la responsabilité du progrès génétique reviendra plus nettement à l'INRA et à la recherche publique. La question est, alors, de savoir quelles seront les espèces qui risquent d'être moins travaillées par le secteur semencier ? On peut penser que, pour des raisons économiques et à l'image de ce qui se passe aux U.S.A., les espèces pour les productions de masse sélectionnées comme autogames seront les plus frappées de désaffection et donc que les organismes
, INRA serait ainsi peut être conduit à investir plus fortement dans ce domaine et à "augmenter ses activités de création de matériel végétal sur ces espèces où les investissements du secteur privé sont faibles" (hypothèse Y3). Mais un tel choix est-il possible? L'effort qu'il suppose semble hors de portée même si un réexamen globale de la
, La situation est moins "grave" pour l'industrie des semences du fait de l'engagement des firmes agro-alimentaires et de certains soutiens de l'état. Néanmoins, on peut penser que Dossier élaboré sous la responsabilité de Michel SEBILLOTTE Secrétariat
, Délégation Permanente à l'Agriculture, au Développement et à la Prospective Décembre, 1998.
, Couverture : La partie d'échecs, 1943, VIERA DA SILVA Musée National d'Arts Modernes
,
, Série Bilan et Prospectives ? Avenir de l'Agriculture et futur de l'INRA + Annexes ? Les recherches sur l'environnement à l'INRA
, Contribution de l'INRA ? Prospective: la forêt, sa filière et leurs liens au territoire Institut National de la Recherche Agronomique 147 , rue de l, ? Les ressources génétiques au secteur des productions végétales ? Consultation nationale sur les grands objectifs de la recherche française