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, expérimentation et appui technique pour la réduction des coûts de production
, La disparité des revenus des agriculteurs et des bons résultats de ceux qui valorisent au mieux leur potentiel fourrager est importante, dans le cadre de ceffe sous-action, les études portant sur I'utilisation des fourrages et des concentrés ont permis la constitution d'un réseau de références
, sur les exploitations étudiées, le coût de I'alimentation des vaches laitières s'élève à 0.36 francs par litre de lait en moyenne et varie de O.zSFll à 0.58F/1. Les dépenses en concentrés et en fourrages peuvent varier de 13 centimes par litre respectivement. Selon les exploitations, les coûts de production des fourrages varient également de I 240 F/ha pour l'herbe et de 1 390 F/ha pour le maïs. Les agriculteurs n'optimisent pas les coûts de production de I'herbe et de maïs à la fois et d'après les réferences du réseau EBD (éleveurs bovins de demain) la diminution du coût de production par hectare possible est en moyenne de 400 à 500F/ha. Plusieurs systèmes d'exploitations sont étudiés pour réduire les coûts de production (la maximisation des pâtures, une proportion de maïs de 35o dans la composition des fourrages, une réduction des concentrés). D'après les données de la station d'expérimentation de Trévarez, le coût alimentaire peut diminuer de 40 à 35 pâturée. Une meilleure utilisation des pâtures permet donc de réduire de l7cts/l le coût alimentaire, or le quota moyen des exploitations étudiées est de 230 000 l, l'économie s'élève environ à 50 000F par exploitation. Par ailleurs, une proportion de mais fourrage de 35o at maximum permet une économie de 6 cts/I. Enfin
, Qualité de la viande bovine (sous-action 313-1)
, En faisant I'hypothèse d'une meilleure valorisation de I à2F du kg de viande à la suite d'une démarche qualité, compte tenu du fait que la carcasse compte environ 300 à 350 kg de viande et que les éleveurs ont en moyenne 70 animaux, le gain par exploitation pourrait très grossièrement être estimé à350+2x70:49 000F. D'après le comité de suivi et la base GPE de la préfecture
, brut par hectare inigué est supérieur à celui de I'hectare nombre d'hectares inigués grâce à cette sous-action est de 4 657 selon le dernier comité de suivi. Si I'on fait I'hypothèse que les surfaces irriguées sont plantées en haricots zrEDE-Chambres dragriculture de, Portes ouvertes deTrêvzrez -Réduction des concentrés approches économiques, 1997.
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