Et si les anciens génotypes de blé avaient de meilleures interactions avec les PGPR (Plant Growth-Promoting Rhizobacteria) que les blés modernes ? - INRAE - Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement Accéder directement au contenu
Communication Dans Un Congrès Année : 2017

Et si les anciens génotypes de blé avaient de meilleures interactions avec les PGPR (Plant Growth-Promoting Rhizobacteria) que les blés modernes ?

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Dates et versions

hal-02934267 , version 1 (09-09-2020)

Identifiants

  • HAL Id : hal-02934267 , version 1

Citer

Jordan Valente, Claire Prigent Combaret, Jacques Le Gouis, Yvan Moenne-Loccoz. Et si les anciens génotypes de blé avaient de meilleures interactions avec les PGPR (Plant Growth-Promoting Rhizobacteria) que les blés modernes ?. 8. Colloque de l'Association Francophone d'Ecologie Microbienne, Association Francophone d'Ecologie Microbienne (AFEM); UMR 6197 LM2E Laboratoire de Microbiologie des Environnements Extrêmes; EA 3882. LUBEM Laboratoire Universitaire de Biodiversité et d’Ecologie Microbienne; IFREMER, LSEM Laboratoire Santé Environnement et Microbiologie, Oct 2017, Camaret-sur-Mer, France. 186 p. ⟨hal-02934267⟩
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