Valorisation des vins de presse
Résumé
Peynaud considérait les « presses » comme des « vins médecins » tant il est vrai que leur addition partielle est, le plus souvent, nécessaire dans l’édification d’un vin de garde [1]. Aussi, les soins apportés à l’obtention d’un vin de presse de qualité sont justifiés car, à l’opposé, des notes herbacées peuvent aussi être apportées par les presses aux vins les plus « communs ». Cette étude porte sur l’incidence du type de pressoir sur la qualité des vins de presse évaluée sur la base de la dégustation.