Davantage de repas végétariens à la cantine pour concilier qualité nutritionnelle et protection de l’environnement
Résumé
- La réglementation actuelle relative à la restauration scolaire impose le service d’au moins une viande rouge non hachée et un repas végétarien par semaine.
- Dans un repas scolaire, le choix du plat servi comme « plat protidique » influence beaucoup l’impact environnemental du repas et peu sa qualité nutritionnelle. Les repas avec un « plat protidique » végétarien ont un impact négatif sur l’environnement bien moindre que ceux avec un « plat protidique » à base de poisson ou de viande.
- Servir 12 repas végétariens sur 20 (au lieu de 4 ou 5, minimum imposé par la réglementation actuelle), en alternant viande et poisson avec des « plats protidiques » végétariens, permettrait de réduire notablement les impacts environnementaux (baisse de 25 à 50 % des émissions de gaz à effet de serre notamment), tout en maintenant une bonne qualité nutritionnelle.
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