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. Ziegler-d and . Heduit-m, Il aboutit au calcul final d'une valeur ? 2 , qui est comparée à un ? 2 théorique, fourni par un tableau du manuel de statistiques en fonction du degré de liberté, et donnant, au risque d'erreur près (généralement 5%), la réponse à la question de l

, D'une manière générale, plus le nombre est élevé, plus le résultat est significatif. De même, un nombre d'échantillons trop restreint empêche la validité d'un test. C'est pourquoi, lors des analyses de variance portant sur les paramètres géographiques (distance à la ruine, au ruisseau ou à la source, pente, exposition), les anciens jardins et les anciennes pâtures ont été exclues des tests : s'ils avaient été intégrés dans les tests, seules huit comparaisons (anciennes pâtures) ou six comparaisons (anciens jardins) auraient pu être effectuées pour déceler un effet de l'utilisation ancienne sur la distance à la ruine par exemple, La validité des tests décrits plus-hauts repose sur un nombre minimum d'échantillons nécessaires

, Ainsi, certains tests montrent qu'une observation n'est pas significative, ce qui ne correspond pas avec l'impression acquise sur le terrain. Cependant, les observations de terrain ne sont pas forcément fausses. Les observations statistiques peuvent résulter d'un nombre d'échantillons trop faible, notamment s'il s'agit d'interpréter les résultats par, Un second problème réside dans l'interprétation que l'on peut faire des résultats

L. Ouest,

, En limite de la niche, au nord des points d'échantillonnage 3 et 4, se trouve une rupture de pente due à un affleurement rocheux. Les blocs d'éboulis du point de prélèvement 6 viennent de la roche qui domine le site à l'ouest. Bien qu'une petite partie du site soit couverte d'éboulis, la majeure partie se trouve sur des matériaux morainiques, La pente varie entre 3 et 8°

. Dans-leur-ensemble, les sols de ce site sont profonds. La moitié de la surface comporte des sols secs qui sont des sols ocreux couverts d'une belle pelouse de canche (Deschampsia flexuosa). L'autre moitié se trouve sur une zone de sources et comprend essentiellement des gleys où poussent des sphaignes

, Seul le jardin est encore en partie entouré d'un mur. La Fig. 1 montre que les champs et le jardin se trouvaient sur des endroits secs et au-dessus des prés, ces derniers étant situés en grande partie sur la pente et dans la zone de sources. Les canaux de drainage sont encore visibles et en partie fonctionnels. Contrairement aux autres sites du Haut-du-Tôt, le "bois" se trouvait sur des éboulis, impropres à tout aménagement. Cette parcelle de bois appartenait, contrairement à la forêt ancienne (au au Haut-du-Tôt. Lors de l'établissement du premier cadastre, les propriétaires, deux femmes, se partageaient la maison qui contenait deux foyers, Il est encore entouré d'un ancien mur. Aujourd'hui, à l'intérieur du site, rien ne distingue les anciens champs des anciens prés, 1922.

, La Feigne des Gandes se trouve exposée à l'est, à une altitude de 850 m. Le site correspond à une niche et domine l

, Cet endroit est couvert de sphaignes et de mousses (notamment Polytrichum commune) et les sols sont des gleys. Ailleurs, ce sont des sols bruns ocreux sur lesquels la canche flexueuse forme des tapis denses. Ils contiennent, dans les horizons de surface (couches supérieures du sol), quelques galets (jusqu'à 15% du profil) et des cailloux anguleux, En profondeur, les galets sont absents. Ils viennent certainement du grès affleurant quelques dizaines de mètres au-dessus du site, suite à un brassage de formations superficielles pendant les périodes froides. Les peuplements d'épicéa sont jaunissants

. Le-site and . Fait-partie-de-la-commune-du-tholy, On constate également que les endroits les plus secs ont été utilisés comme champs, en partie limités par des murs en bas de pente. La zone de sources faisait partie de l'ancien pré. La couverture de gros blocs est certainement en partie naturelle, mais résulte aussi d'accumulation de blocs par les anciens agriculteurs (Fig. 2). En effet, de nombreux blocs sont encore posés sur l'ancien mur

, L'habitat a été construit sur un replat, en haut de la niche. A quelques mètres de la ruine, sur le même replat mais à l'extérieur du site, se trouve encore la vieille chambre de fontaine

, L'ensemble du site a toujours appartenu à un seul propriétaire privé jusqu'à aujourd'hui. Le site n'a donc jamais été divisé. D'après le comptage des cernes des arbres, ce site a été reboisé en épicéa juste après la première guerre mondiale

, Ils sont exposés à l'est, en bas du vallon du ruisseau du Cellet, et ne bénéficient que de quelques heures de soleil par jour. Ils se trouvent à une distance d'environ 500 m l'un de l'autre, en limite du ruisseau du Cellet. La pente est relativement forte (35°) mais devient plus faible à proximité du ruisseau (3°), Les sites de la Grange des Celles et du Bas de Cellet se trouvent à une altitude respective de 820 et 800 m (Fig. 2-1, chap. 2, et Fig. 3-5 chap. 3)

C. Du and C. La-grange-des, Au-dessus de la ruine, le sol du pré est très différent des autres sols du même site : il est profond (la fosse pédologique a été creusée jusqu'à 1,20 m de profondeur) et très foncé puisqu'il contient beaucoup de matière organique ; des lits de cailloux apparaissent sur tout le profil. Il est peu probable que ce profil soit celui d'un ancien champ, en raison du cadastre et parce que les lits de matériaux grossiers auraient été dans ce cas

L. Bas-de, Cellet se trouve à environ 1

, On peut encore voir la banquette créée par le labour. Le pré suivait le ruisseau sur une distance de 300 m. La date d'abandon n'est pas certaine, les épicéas du Bas de Cellet n'ayant pas été échantillonnés. Néanmoins, d'après les folios, D'après un ancien agriculteur du hameau du Haut-du-Tôt né en 1904

, Une roche moutonnée à 800 m en aval en témoigne. Le ruisseau de la Pissoire coule aujourd'hui dans cette vallée peu profonde. La situation topographique de l'ancienne ferme de la Pissoire est comparable à celle de la ferme (dont la maison est encore habitée) située 250 m en amont

, Les sols de la Pissoire sont des sols bruns ocreux et la strate herbacée est dominée par la canche flexueuse. Les arbres sont jaunissants. L'eau superficielle n'existait pas sur ce site, Aux alentours de ce dernier, de nombreux blocs plus ou moins arrondis provenant du glacier sont dispersés

L. Distance-entre-le-site-de-la-pissoire, Ces trois parcelles anciennement cadastrées comme champs se trouvaient au-dessus de la ferme ou à côté, dans les secteurs les plus ensoleillés et éloignés du ruisseau, afin d'éviter les courants d'air froids et humides de la nuit. L'unique pré, formant une grande parcelle, était situé au-dessous de la ferme, commune de Vagney) et l'église du Haut-du-Tôt est de 1.2 km à vol d'oiseau

, Comme l'eau de surface à proximité immédiate de l'ancien habitat n'existait pas, les anciens habitants avaient installé un système de canalisation et, au-dessus du replat artificiel de la ruine, une petite butte d'une hauteur de 2 m sur une surface carré de trois mètres de côté correspond à l'ancienne chambre de fontaine. Les éléments en sont encore visibles. D'après le comptage des cernes des épicéas, le site est reboisé depuis les années 1930

, La Pissoire d'après l'ancien cadastre et les observations de terrain

L. Versants, . Vers"-de, D. U. Vagney, . Syndicat, and . De-rochesson,

, Le Demixiard est exposé au nord-est, les autres sites à l'est. La pente varie au Solem entre 7 et 35°, aux Pennecières entre 7 et 30° et au Demixiard entre 5 et 28°. Les formations superficielles de ces trois sites dérivent essentiellement du granite. Néanmoins, comme les sites du Haut-du-Tôt, le Solem et le Demixiard sont couronnés par des grès des couches du Bundsandstein et des galets sont visibles dans les horizons superficiels des sols de ces deux sites. A l'intérieur des trois sites existent quelques petits replats dus à des dépôts morainiques ou à des affleurements rocheux. La strate herbacée des trois sites est constituée en grande partie de la ronce (Rubus fructicosus) et de la fétuque (Festuca altissima). Les sols sont des sols bruns acides, Les sites du Solem (700 m d'altitude), des Pennecières (600 m d'altitude) et du Demixiard (600 m d'altitude) se ressemblent. Ce sont des niches de nivation (Fig. 3-6, chap. 3, fig. 9

, Les champs ont été épierrés et au Solem, une partie des pierres a été entreposée sur l'affleurement rocheux. Dans les trois sites, la plupart de ces pierres ont cependant servi à construire les murs. Les vieux murs autours des anciens champs sont ainsi très nombreux. Le Demixiard fait exception : on y observe des terrasses qui actuellement ne présentent pas de mur. Il est possible qu'anciennement la terre ait été retenue par une haie, aujourd'hui disparue. Au Solem et au Demixiard, des vieux murs limitaient également les anciens prés des zones humides. Au Solem, on peut également observer un jardin sur une terrasse artificielle, des trois sites. L'ancienne organisation des sites est représentée dans la Fig. 10 et la Fig. 11. Comme au Haut-du-Tôt, les champs étaient situés dans les endroits les plus secs, même si les sols étaient très caillouteux

, D'après le comptage des cernes des arbres, les Pennecières et le Demixiard ont été abandonnés vers les années 1920, alors que le Solem a été abandonné au début des années, 1940.

, 750 m (Fig. 3-6, chap. 3, Fig. 10). Il a été établi en partie sur la paroi de la niche du Solem. La pente varie entre 5 et 30 degrés, Le site apparaît comme un accident

, Le sol (brun acide) s'est développé sur des matériaux morainiques (présence de fragments de gneiss)

L. Actuellement, . Site, and . Dépourvu-d'eau-superficielle, Cependant, le sol est localement humide. La fétuque domine la strate herbacée. Ce site est le seul planté en Douglas (Pseudotsuga menziesii). En 1996, après une étude floristique que nous avons effectuée

, Sur les pentes, les champs étaient exposés à l'est, et le pré au nord-est sur la pente la plus forte. Cet ancien pré (Fig. 13) occupe la plus grande part de la surface du site. La date d'abandon n'a pas été déterminée

, Il est situé dans un "cirque" glaciaire dont le fond est couvert de matériaux granitiques, où s'écoule un ruisseau. Les sols sont des sols bruns acides, et près du ruisseau se trouvent des gleys, 15° (Fig. 1-2, introduction et Fig. 14)

, Tout le fond du cirque était exploité comme pré et drainé. Les canaux de drainage sont encore visibles aujourd'hui. Les champs en terrasses étaient situés au niveau des habitations ou au-dessus. Trois maisons ont été construites sur ce site en bordure du fond du cirque. La date d'abandon n'est pas connue, Les Truches

, Une partie du site est couverte de jeunes épicéas. L'autre était couverte jusqu'en 1997 d'un peuplement mûr qui a été coupé à blanc-étoc en raison d'une attaque de bostriches. Une nouvelle plantation de mélèzes (Larix decidua) a été mise en place. Les sols sont des sols bruns acides et la fétuque domine la strate herbacée là où la surface n, Le site du Piéta correspond à la prolongation du Jossonfaing, sur la paroi située à l'est du cirque (Fig. 1-2, introduction, Fig. 14)

J. Comme-le, Il est entouré d'un mur. La ruine se trouve au bord du replat où elle domine le site du Jossonfaing. Le site est complètement dépourvu d'eau et aucun aménagement hydraulique (canal, chambre de fontaine) n'est visible. Les parcelles cultivées étaient très petites, délimitées par des murs et dispersées sur le replat autour de l'habitat. L'ancien pré était épierré, notamment dans sa partie située sous l'affleurement rocheux, où de nombreux tas de blocs demeurent. La coupe de bois en 1997 a bouleversé la surface. En conséquence, les anciens murs et les tas d'épierrement ont été en partie détruits, le site se trouve à environ 1.5 km à vol d'oiseau du hameau "Les Truches

L. Vosges,

L. Capitaine and . Le-pré,

, 1-2, introduction, Fig. 15), se trouvent en haut de vallon à proximité de la Route des crêtes, en dehors de la zone englacée. La Capitaine, située à une altitude de 900 m, est exposée au nordouest. Le Pré-de-Raves, à 1000 m, regarde au sud-ouest. Il s'agit des sites les plus hauts de notre étude, Les sites de la Capitaine et du Pré-de-Raves, proches du col de Bonhomme (Fig

, Les sols sont des sols bruns acides. La forêt limitrophe située au nord de la Capitaine et celle des environs de la ruine ont été récemment coupées à blanc-étoc. Les épicéas situés sur l'ancien champ sont jeunes (environ 40 ans) et très denses. La strate herbacée est également très dense aux endroits les plus ouverts, et présente des ronces et de la fétuque. Elle est en revanche quasi absente à l'intérieur de la pessière dense, Dans les vallons de la Capitaine, les arènes déplacées, contenant quelques blocs arrondis, sont épaisses. Des convois à blocs sont visibles au sud et au nord du site

A. Pré-de-raves, Les sols sont également des sols bruns acides. Le peuplement d'épicéa est très dense comparé à ceux des autres sites étudiés, ce qui explique la faible densité de la strate herbacée, Toutefois, on observe quelques touffes de fétuques et des mousses

, Les deux sites se trouvant sur une zone de sources, l'eau apparaît en des nombreux endroits. Le nombre de sources et leur débit dépend des précipitations et de la fonte des neiges

. Fraize and . Cependant, Le site de la Capitaine est, en partie, entouré d'un ancien mur. Le sol de l'ancien champ à côté de la ruine est très profond (plus de 1.50 m) et dépourvu de pierres. Cette terre est retenue par des murs de gros blocs arrondis. A côté de l'ancien champ, la ruine est sur un grand replat artificiel. Cette ruine est une des plus grandes qui aient été observées sur l'ensemble des sites, ce qui donne une idée de la richesse passée des anciens propriétaires. Selon les informations obtenues de l'ONF, le site de la Capitaine servait avant l'abandon comme relais de chevaux. La proximité du Col du Bonhomme (encore aujourd'hui très fréquenté) était avantageuse pour cette activité. La ferme a été détruite en, la ferme n'était pas une enclave en forêt (Fig. 15), 1936.

L. Pré-de-raves, Chipal (l'ancienne école la plus proche) et à 6 km du village de La-Croix-aux-Mines. Ce site était une enclave en forêt domaniale. Le pré, vaste et homogène, occupait la majorité de la surface (Fig. 2-3, chap. 2) et possédait une source, commune de La-Croix-aux-Mines) est situé à 4 km à vol d

. Actuellement, Juste à côté se trouve une très grande ruine. Les murs d'épierrement n'existent pas. Par contre, une casemate en béton datant de la Première Guerre s'observe juste au-dessus de l'ancienne ferme. Là, le sol est perturbé. Une pancarte clouée sur un arbre près de la ruine explique qu'après la première Guerre la ferme a été transformée en camp de scouts et utilisée comme tel jusqu'aux années 1920

, Pour ces deux sites, le cadastre pose problème. A la Capitaine, l'habitation ne se trouve pas à l'endroit indiqué sur le cadastre, mais en est éloignée d'environ 150 m. Les surfaces indiquées dans l

A. Pré-de-raves, 1) : les numéros des parcelles sont différents et les surfaces indiquées ne permettent pas de passer d'une date à l'autre, vraisemblablement suite à une erreur des folios de 1882. En effet, le cadastre de 1812 semble mieux correspondre aux observations de terrain. En outre, dans les folios (ADV, 3P1167, Folios 28 et 159), les parcelles 64 (pré 1.1140 ha) et 65 (pré 0.6340) font partie d'un lieu-dit appelé "Pré Loritz" entre 1876 et 1929, les surfaces des parcelles ont été déclarées de façon différente en 1812 et 1882 (Tabl

, Ces vallons s'ouvrent vers le nord et le nord-est (Fig. 16 et Fig. 17). La lumière directe du soleil est présente seulement quelques heures par jour. Les pentes des deux sites varient fortement entre 2 et 25°

, Le versant est couvert de gros blocs d'éboulis venant des affleurements gréseux placés à l'amont du site. Le sol, dérivé du grès, est un sol podzolique. Le site de la Cude est caractérisé par des sols bruns acides développés sur des formations glissées dérivant du granite de Crête, Le Muesbach se trouve sur des grès et des conglomérats du Bundsandstein moyen, 1972.

, Sur les deux sites, la végétation est une véritable "mosaïque" : sur le site du Muesbach, le sol quasi nu d'une ancienne pâture s'oppose à une belle pelouse à fétuque d'un ancien champ. A la Cude, une pelouse à fétuque (ancien champ) s'oppose à une pelouse à luzule

, La plantation du Muesbach a été effectuée en épicéa, mais on y trouve également des pins (Pinus sylvestris) et des mélèzes. A la Cude, la strate arborescente est dominée par le sapin (Abies alba) mélangé avec l'épicéa

A. Muesbach, des générations successives d'agriculteurs anabaptistes ont entassé les blocs d'éboulis en gros tas ou en murs qui limitent une partie des parcelles et la totalité du site