La seconde partie se penche plus précisément sur la mise en oeuvre du 2e pilier, au sein des États-membres et des régions. La subsidiarité voulue par cette politique ne conduit-elle pas à un éclatement des logiques d’intervention ? Pour répondre à cette question, D. Lépicier et F.G. Lataste mobilisent les données budgétaires disponibles, pour estimer l’importance des montants distribués dans les États-membres et les régions et pour dessiner une typologie des logiques d’intervention, dans l’Union européenne et en France