ressources-complementaires - Méditerranée en tensions, Monde en recomposition Accéder directement au contenu

Les ressources complémentaires sont les productions des membres du projet en dehors des archives ouvertes.

FMES - Fondation méditerranéenne d'études stratégiques Décrypter pour comprendre La Fondation méditerranéenne d'études stratégiques Listes de productions https://fmes-france.org/publications/
LabexMed – Les sciences humaines et sociales au cœur de l'interdisciplinarité pour la Méditerranée (Human and Social Sciences at the heart of Interdisciplinarity for the Mediterranean)

Présentation du Labex : http://labexmed.fr/en/index/index.html Accéder à la collection HAL du Labex : https://amu.hal.science/LABEXMED/search/index?q=*

Diffusion au grand public (Culture Scientifique) :

Voyage en Méditerranée : Une gouvernance agitée
Science-o-theque

https://scienceotheque.univ-amu.fr/fr/voyage-mediterranee-une-gouvernance-agitee

Jeu de l’oie pour explorer les enjeux qui traversent la mer méditerranée. Au fil des cases, ce jeu questionne la démographie, les ressources naturelles, la protection de l’environnement ou encore les conflits entre usagers de la mer. Pour gagner, il faut arriver le ou la premier·e à bon port !

Minimum 2 joueurs / partie de 30min / à partir de 12 ans

Coexistences en Méditerranée
Science-o-theque

https://scienceotheque.univ-amu.fr/fr/coexistences-mediterranee

Une exposition en ligne pour parler des coexistences en Méditerranée avec les chercheurs du laboratoire TELEMMe autour de trois créations : La casa d’Italia de Marseille, Lieux de coexistence et la Babelothèque.
La casa d’Italia de Marseille : fenêtres sur une troisième Rome avec une enquête sur un lieu de mémoire dissonant du patrimoine marseillais, cas unique d’architecture fasciste sur le sol français.
Lieux de coexistence : trois entretiens dans la Cité pour explorer des coexistences à partir d’un lieu de la ville, un monument, un lycée et un espace public, conçus à la fois comme théâtre et comme élément moteur de la cohabitation urbaine.
La babelothèque, objets de coexistence(s) : un objet, deux chercheurs, une rencontre dialoguée. C’est le format de cette création qui propose une curieuse collection.

Pourquoi la notion de migration est trompeuse ?
Science-o-theque

https://scienceotheque.univ-amu.fr/fr/notion-de-migration-trompeuse

Vidéos échoscientifiques Société Vidéo
La série des “Vidéos échoscientifiques” est une série pour parler de sciences sur Youtube. Ces vidéos créées par des youtubeuses et youtubeurs en collaboration avec des scientifiques de la Région Sud nous en apprennent plus sur des projets de recherche en cours dans de nombreuses disciplines.
Dans cette saison 1, le youtubeur de la chaîne Mister Geopolitix, explique pourquoi la notion de migration est trompeuse avec Virginie Baby-Collin, Sophie Bouffier et Stéphane Mourlane, chercheurs à Aix-Marseille Université au sein de la Maison méditerranéenne des sciences de l’Homme (MMSH).
On peut facilement voir la notion de migration comme un phénomène figé et définitif mais c’est bien plus complexe que cela. Pour appréhender la question de la circulation, dans l'espace et dans le temps, des Hommes, des pratiques, des savoirs et des idées, des notions d’histoire, de géographie, de sociologie, d’archéologie et de sciences politiques sont nécessaires.

Podcast du MUCEM

https://www.mucem.org/programme/migrations-climatiques-bientot-les-embouteillages

Migrations climatiques : bientôt les embouteillages ? Les Procès du siècle – Luttes en partage
En septembre dernier, plus de 11 000 migrants débarquaient en quelques jours à Lampedusa, faisant doubler la population de ce minuscule bout de terre de 20 kilomètres carrés, et plongeant l’Union européenne dans une énième crise existentielle.
Un scénario appelé à se reproduire, voire à s’intensifier dans différentes régions du monde, en raison du réchauffement climatique et des migrations qu’il risque d’engendrer : si en 2021, 24 millions de personnes ont été déplacées par des événements climatiques, les chiffres de la Banque mondiale prévoient 260 millions de déplacés climatiques en 2030, et jusqu’à 1,2 milliard en 2050 !
Alors que faire ? Bâtir des murs et des forteresses ? Ou réfléchir à la mise en place d’une gouvernance mondiale sur ces questions ?