En 2014, l’annexion de la Crimée et le soutien de la Russie aux séparatistes du Donbass ont entraîné l’adoption de sanctions internationales dont les effets ont été ressentis jusqu’en Asie centrale : dépréciation des monnaies locales, baisse des transferts de fonds des migrants, frein au projet d’intégration eurasiatique, etc. Pour autant le régime autoritaire russe s’est affirmé pour les élites locales comme un modèle politique et la Russie est restée un acteur influent en Asie centrale.