Best possible estimation of mass balance combining field data variance analysis and photogrammetry
Combinaison de l'analyse de variance des données de terrain et de la photogrammetrie comme meilleur estimateur du bilan de masse d'un glacier
Résumé
A variance analysis of the long time series of mass balance recorded at Sarennes glacier (45°07'N; 6°07'E, France) since 1949 shows that specific winter and annual balances deviates from their mean values over the period of record by an annual amount that is uniform all over the glacier. Regarding the annual mass balance data, this linear composition of the spatial and temporal variabilities is only altered for a reduced number of years of strong negative budget at the lowest altitude measurement sites. Stake to stake annual balances are therefore highly correlated and sampling at a single site would be acceptable to record this annual deviation. The spatial variability of the data is found to be close to the natural overall spatial variability of the mass balance. However, a systematic error-free estimation of the glacier-wide balance seems to be preferably obtained from the volume changes measured by photogrammetry rather than with an integration of specific balances using the altitude area distribution.
Une analyse de variance de la longue série de bilan de masse du glacier de Sarennes (45°07'N; 6°07'E, France) initiée en 1949 indique que les bilans d'hiver et d'été s'écartent de leur valeur moyenne par une valeur annuelle uniforme sur l'ensemble du glacier. Pour le bilan annuel, cette de composition des variances spatiale et temporelle n'est mise en défaut qu'au site de mesure de plus faible altitude et les années de fortes ablation estivale. Les bilans annuels sont par conséquent fortement corrélés entre les sites et un seule mesure spatiale serait suffisante pour estimer pour l'écart annuel à la moyenne des bilan. La variabilité spatiale des bilans mesurés est proche de la variabilté naturelle d'ensemble du glacier. Cependant une estimation sans biais du bilan d'ensemble semble être préférentiellement obtenue par la photogrammétrie que par une intégration spatiale des bilans ponctuels obtenue par l'hypsographie du glacier.