Face aux risques subis ou redoutés comme les tempêtes et incendies, une étude montre que les forestiers landais ont finalement peu modifier peu leurs comportements. Après les phases de stupéfaction, de gestion de l’urgence, d’abattement, est venue une période de réflexions et de propositions mais qui n'a guère fait évoluer les pratiques à court terme. Cette étude montre que le changement a besoin d’être accompagné, anticipé, conforté par différents canaux d’informations et dépend de la confiance en la filière professionnelle.