La fiscalité peut changer les mauvaises habitudes alimentaires - INRAE - Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue La Tribune de l’Art Année : 2015

La fiscalité peut changer les mauvaises habitudes alimentaires

Résumé

Depuis plusieurs années, les campagnes d'affichage, les spots de publicité, les informations nutritionnelles se sont multipliées. Les Français par exemple, savent qu'il faut consommer cinq fruits et légumes par jour, manger mais aussi bouger, et même que les produits laitiers sont leurs amis pour la vie. Mais rien n'y fait ! L'obésité continue lentement à progresser. Face à ce qui est en train de devenir le premier problème de santé publique dans le monde, le législateur a décidé d'utiliser la manière forte : depuis janvier 2012 il a taxé l'ensemble des boissons sucrées, même celles comportant des édulcorants. La bonne idée que l'on attendait ? Pas sûr ! Une très sérieuse étude française met à mal les idées reçues. Deux chercheurs de TSE, Céline Bonnet, chargée de recherche à l'INRA et Vincent Réquillart, directeur de recherche à l'INRA et membre de l'Institut d'Économie Industrielle ont cherché à évaluer l'impact des taxes nutritionnelles.
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-02630075 , version 1 (27-05-2020)

Identifiants

  • HAL Id : hal-02630075 , version 1
  • PRODINRA : 308687

Citer

Céline Bonnet, Vincent V. Requillart. La fiscalité peut changer les mauvaises habitudes alimentaires. La Tribune de l’Art, 2015. ⟨hal-02630075⟩
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