Les politiques protectionnistes peuvent générer des externalités positives dans le long terme qui peuvent être assimilables à des biens publics si elles sont légitimées par la préférence sociale. L'institutionnalisation du dispositif protectionniste, et plus largement des modes de régulation internationale, dépendent du leadership des groupes qui réussissent à faire coïncider durablement les fonctions de préférences collectives avec leurs intérêts privés.