Prédation ou coopération : La cause végétale peut-elle nourrir l’humanité ?
Abstract
Les plantes sont nos alliées pour relever les défis du 21e siècle. Au-delà d’une comptabilité environnementale, peut-on leur reconnaître une « dignité » ? À l’instar des animaux, ne sont-elles pas des êtres vivants avec lesquels on peut avoir des relations de vie et de travail ? Les nourritures végétales ne sont-elles que des pis-aller ? Peut-on promouvoir une agroécologie respectueuse des êtres vivants en ignorant la cause végétale ?